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Notre avis

Mega est devenu le cinquième fournisseur d’électricité en Belgique. L’entreprise ne produit pas d’électricité elle-même et n’investit pas dans les énergies renouvelables. Par le passé, Mega a acheté une grande partie de son énergie directement auprès de producteurs d’énergie renouvelable, ce qui lui valait un bon score. Malheureusement, ces achats ont fortement baissé, faisant reculer Mega dans notre classement. Mega pourrait améliorer son score à l’avenir en achetant à nouveau plus d’énergie renouvelable directement, en investissant elle-même dans ce type d’énergie, ou en faisant preuve de plus d’initiative pour passer au chauffage vert.

 

Mega

Mega est un fournisseur belge fondé en 2013 qui fournit de l’électricité et du gaz en Flandre et en Wallonie. Mega ne produit pas d’électricité, mais en achète directement à d’autres producteurs et sur le marché de l’électricité.

 

Electricité fournie ?

52%biomasse2%12%énergie fossile16%16%

Mega achète la majeure partie (75 %) de l’énergie fournie sur le marché de l’énergie, qui reste très pollué. Ce mix énergétique contient encore une grande proportion d’électricité issue de centrales nucléaires (22 %) et de centrales au charbon (18 %).

Mega achète directement le reste de son électricité auprès d’autres producteurs. La majeure partie de cette électricité est issue de l’énergie solaire, complétée par une toute petite quantité d’énergie éolienne.

Investissements ?

Mega ne prévoit malheureusement aucun investissement dans un avenir proche. L’entreprise pourrait améliorer son score en investissant dans les énergies renouvelables.

 

Taille des investissements ?

0100

Mix sur la facture ?

71%biomasse28%1%

Le mix de Mega est presque entièrement vert et provient principalement de l’énergie éolienne, de la biomasse et de l’hydroélectricité, complétées par un peu d’énergie solaire.

 

Chaleur verte ?

0100

Mega obtient un score très faible pour cette composante. Elle vend du gaz fossile et donne la possibilité aux consommateurs·trices d’en compenser les émissions. Greenpeace ne soutient pas ce principe et encourage Mega à prendre de réelles mesures en faveur du chauffage durable, en collaboration avec sa clientèle.